alice au pays des merveilles histoire à lire
Publiéen 1865, le livre de Lewis Carroll "Alice au Pays des Merveilles" a marqué à jamais la littérature. Pour le réalisateur Tim Burton, il était impossible de résister à la chance de
LisezAlice au pays des merveilles en Document sur YouScribe - Alice au pays des merveillesLewis Carroll1865illustré par Sir John Tennieltraduit de l’anglais par Henri BuéSommaire1 CHAPITRE ILivre numérique en Jeunesse Jeunesse - Pour les 6 - 12 ans
En1979 : Décès de Mary Blair, artiste et imagineer. Cette artiste, née en 1911, fut une aquarelliste remarquable dont le talent se révéla dans Belle et le Clochard, Cendrillon ou encore Alice aux Pays des Merveilles. Mais son plus grand héritage sera très certainement la conception des décors et des fameuses poupées de It’s a small
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Lhistoire complète du film à lire et à écouter avec un CD ! – Un petit album illustré de 48 pages, de la taille d’un boitier CD, pour découvrir les aventures d’Alice au Pays des Merveilles. – Des
nonton film now you see me 2 sub indo. 1 juin 2016 3 01 /06 /juin /2016 1453 Alice au pays des merveilles, ou le délire psychotique?Les aventures d’Alice au Pays des Merveilles est une œuvre schizophrène, comportant deux lectures accessibles aux enfants a partir d’une dizaine d’années cependant, touchés par le côté merveilleux de ce monde, et aux adultes, intéressés par les trouvailles de jeux de mots humoristiques et par les notions mathématiques dissimulées. En outre, c’est aussi une analyse psychologique complète de l’enfance, avec ses symboles universels. Alice au pays des merveilles » est le titre d’un livre écrit par Lewis Caroll paru en 1865. Ses plus célèbres adaptations à l’écran furent tout d’abord le dessin animée réalisé par les studios Walt Dysney en 1951, et dernièrement le film mis en scène par Tim Burton 2010.Alice, jeune fille ou bien jeune femme, selon les versions de bonne famille, vit à Londres en pleine époque Victorienne. Au début de l’histoire, Alice est avec sa sœur en forêt. Alice semble subir la lecture que lui fait sa sœur. Elle aperçoit un lapin et décide de le suivre. Elle tombe dans un trou présent dans le creux des racines d’un arbre et se retrouve au pays des du film commence 13 ans plus tard. Alice est invitée à un repas dans le jardin d’un ex-ami et collègue de son père. Le fils de ce dernier souhaite demander la main d’Alice à l’occasion de cette folie est véritablement au centre de cette œuvre. Elle se demande plusieurs fois si elle n’est pas folle au début du film, et elle semble également avoir des réflexions bizarres comme j’imaginais les hommes en jupe et les femmes en pantalon » ou bien encore je me demandais ce que ça faisait de voler ». Elle s’enfuie et arrive au pays des merveilles après avoir refusé la demande en pays des merveilles ressemble à un délire psychotique. Il existe un trouble grave du rapport à la réalité extérieure Alice perçoit des choses que les autres ne voient pas. Elle crée par son délire une autre réalité constituée d’éléments internes. Lors du film, Alice déclare à la fin du film, que les différents personnages la renvoyaient à des personnes participants à la garden party ». Il existe ainsi un conflit véritable entre le Moi et la troubles identitaires sont également présents elle grandit et rapetisse comme si son corps ne démarquait plus la différence entre intérieur et extérieur le sentiment d’Alice d’être réelle et entière n’est plus assuré et constant. Cette fragilité du Moi est évoquée à travers les angoisses de morcellement. Durant tout le film la reine rouge souhaite couper la tête aux autres. Chaque individu vivant dans le royaume peut perdre la tête » angoisse d’anéantissement mais cela renvoie aussi à la folie. Le Moi est fragile, et la différence des sexes peut ne plus exister lorsqu’Alice explique qu’elle imaginait les hommes en jupe et les femmes en pantalon elle évoque la suppression de cette troubles identitaires sont évoqués au début du film lorsque tout le monde se demande si elle est Alice est-elle vraiment elle? Les mécanismes de défenses mis en place dans l’univers d’Alice est principalement le clivage il existe, comme dans la position schizo-paranoïde de Mélanie Klein, une bonne mère et une mauvaise mère. La mauvaise mère tentant de tuer Alice qui ne nomme jamais Alice pour mieux la dé-personnifier et la bonne mère, assez peu contenante demande à Alice de tuer la créature la plus maléfique de la reine rouge. La cause de la fixation à ce stade assez archaïque qu’est la position schizo-paranoïde serait sûrement dû à un mauvais investissement de la bonne mère, qui ne semble pas être suffisamment folie est caractérisée par l’énorme tête de la reine rouge. Alice projette sur elle la folie qui l’assaille. Cette tête semble toujours à deux doigts d’exploser, comme si les limites entre interne et externe semblaient confuses. Cette folie pouvant exploser à tout moment. Qui a-t-il de mieux pour contenir tout cette folie symbolisée par une tête? Et bien le chapelier est là pour créer des chapeaux afin de protéger cette Alice lors de la fête, la reine rouge est entourée de personnes semblant comme elle avec des nez, gorges et têtes difformes cependant il ne s’agit que d’imposteurs ce masquant derrière des artifices. Alice avec sa folie semble éprouver la même différence face aux autres personnes présentes dans le semble être perçu comme une figure divine au cœur du pays des merveilles, elle ne souhaite pas au départ attaquer cette créature, puis elle se décidera à la tuer en commencer par lui couper la langue dès le départ lorsque le langage ne peut pas symboliser, alors cela se passe dans l’acte.Enfin, le temps, renvoyant au rapport à la réalité, est très important dans l’œuvre originale. Il rappelle encore l’incapacité à différencier le réel et le au pays des merveilles, permet d’appréhender la décompensation d’une jeune psychotique et de s’immerger dans sa point de vue psychanalytyiqueC’est la psychanalyse qui peut rendre compte le mieux de l’effet de cette œuvre." En 1966, sur France Culture, le flamboyant Jacques Lacan rendait hommage à Lewis Caroll, passant au tamis de la psychanalyse les Aventures d'Alice au pays des merveilles, célèbres et célébrées dans le monde archive à réécouter, alors que la jeune Alice souffle ses 150 bougies c'est le 4 juillet 1865 que paraissait le récit de son passage à travers le au pays des merveilles,c'est une oeuvre énigmatique dans la mesure où elle "produit un malaise dont il découle une joie singulière", et où elle possède une prise considérable sur son lecteur sans qu'y soit évoquées les notions de tragédie, de destin ou de jeunesse."C’est bien là le secret, et qui touche au réseau le plus pur de notre condition d’être le symbolique, l’imaginaire et le réel", estimait le psychanalyste Jacques Lacan sur France Culture en lui, seule sa discipline peut lever le mystère de cette oeuvre en convoquant notamment la "théorie du sujet", qui explique comment Lewis Caroll, en s'adressant à la petite fille, peut tous nous attention, il ne s'agit pas d'avoir recours à une "psychanalyse qui court les rues". Lacan © SEUIL / J. BAUER Seule la psychanalyse éclaire la portée d’objet absolu que peut prendre la petite fille. C’est parce qu’elle incarne une entité négative qui porte un nom que je n'ai pas à prononcer ici si je ne veux pas embarquer mes auditeurs dans les confusions ordinaires. Jacques Lacan à propos d'Alice au pays des merveilles, 1966
Alice au Pays des merveilles de Lewis Carroll Résumé Tandis qu’elle s’ennuie sur la berge d’un fleuve, Alice voit tout à coup passer un lapin blanc, ce qui n’a rien d’exceptionnel, mais, chose plus surprenante, elle le voit également tirer une montre de la poche de son gilet. Intriguée, la voilà qui se lance à sa poursuite. Le lapin disparaît dans un grand terrier elle décide d’y descendre à son tour. C’est à la demande d’une vraie petite fille, justement prénommée Alice, que Charles Dodgson, professeur de mathématiques à Oxford, couche sur le papier l’histoire qu’il lui a racontée, en promenade, un jour de l’été 1862. Trois ans plus tard, sous le pseudonyme de Lewis Carroll, il la fait paraître et, encouragé par l’accueil de la presse, lui donne pour suite La Traversée du Miroir dont le succès, en 1871, est encore plus considérable. C’est que l’auteur sait prendre l’enfant au sérieux, et du coup toucher les adultes, comme il sait se dégager assez de l’Angleterre victorienne pour ouvrir à son livre l’avenir d’une oeuvre classique. Ancrages programmes 6e Les deux Alice ne sont pas des livres pour enfants, mais pluto?t les seuls livres pour lesquels nous devenons enfants. » Cette de?claration de Virginia Woolf va a? l’encontre de l’ide?e selon laquelle Alice au Pays des merveilles est un livre destine? uniquement aux enfants. Aux e?le?ves de sixie?me ou aux lyce?ens un peu re?fractaires face a? ce texte, on pourra avancer que des auteurs tels que Virginia Woolf ou Aragon ont fait d’Alice leur he?roi?ne favorite, preuve qu’il ne s’agit pas d’une e?nie?me œuvre de litte?rature jeunesse. Le re?cit de Lewis Carroll nous plonge dans un univers complexe, sans morale apparente, tre?s diffe?rent de l’univers habituel des contes pour enfants, puisque les princes, princesses et dragons font place aux che- nilles fumeuses de narguile?, aux chapeliers fous et aux tortues de?pressives. Cependant, cette œuvre qui de?crit le monde du nonsense n’est pas de?pourvue d’un fil conducteur, d’une construction organise?e et d’une se?rie de the?mes re?currents porteurs de sens. Me?me sous couvert d’un pseudonyme, Charles Dogson, mathe?maticien et logicien, ne s’abandonne pas a? une extravagance radicale. Toute la fantaisie de son univers de?concertant n’empe?che pas que la rigueur soit ressentie dans l’organisation me?me du re?cit. La se?quence pe?dagogique qui suit s’organise en trois temps un re?sume? de l’œuvre ne?cessaire compte tenu de la diversite? des aventures d’Alice, suivi de l’e?tude de la structure narrative puis d’une e?tude the?matique. Vous trouverez ici la fiche pédagogique sur Alice au Pays des merveilles de Lewis Carroll. [download id= »567496″]
Alice s’ennuie auprès de sa sœur qui lit un livre sans images, ni dialogues » tandis qu’elle ne fait rien. Mais voilà qu’un lapin blanc aux yeux roses vêtu d’une redingote avec une montre à gousset passe près d’elle en courant. Cela ne l’étonne pas le moins du monde. Pourtant, lorsqu’elle le voit sortir une montre de sa poche et s’écrier Je suis en retard ! En retard ! En retard ! », elle est intriguée au point de rentrer derrière lui dans son terrier… Là, elle fait une chute presque interminable qui l’emmène dans un monde aux antipodes du sien. Elle va rencontrer une galerie de personnages du Pays des merveilles tous retors, étranges et absurdes. Dès son arrivée, la petite fille se retrouve en proie à une véritable crise d’identité, en raison des métamorphoses physiques qu’elle subit, mais aussi de la perte du savoir commun qui devrait lui permettre de comprendre et de rationaliser ce monde étrange qui l’entoure. Au Pays des merveilles, les personnages sont fous et le temps est déréglé. Ce pays est un lieu d’excès, où la gourmandise d’Alice est sans cesse confrontée à des choses qui se boivent ou se mangent et qui la transforment physiquement. La fillette rencontre les protagonistes de cette curieuse contrée, devenue sombre et inquiétante dont certains personnages sont cruels comme la fameuse Reine de cœur qui s’exprime sans retenue. Si Alice s’arrête souvent pour entendre ce que chaque personnage a à lui dire, elle se trouve sans cesse confrontée au paradoxe, à l’absurde et au bizarre… Jusqu’au moment où Alice s’éveille pour réaliser finalement qu’il ne s’agissait que d’un rêve . Elle raconte cette aventure onirique à sa sœur qui se laisse à son tour entraîner, les yeux fermés, dans l’univers merveilleux.
Une même histoire pour deux regards. Karine et Marianne sont toutes les deux fans du livre Alice au pays des merveilles… mais n’en gardent pas du tout le même souvenir. Petite déjà, le récit m’angoissait », se souvient Karine. à l’époque, la petite fille frémit au récit de la chute d’Alice dans le terrier du lapin, une chute sans fin, comme au ralenti. J’étais effrayée par le fait qu’elle tombe aussi longtemps ». Plus généralement, la jeune femme pointe l’ambiance anxiogène émanant du récit Elle est toujours à la poursuite de quelqu’un qu’elle ne rattrape jamais, prend le thé avec des cinglés, tombe sur une reine qui veut couper des têtes… ». Et pourtant, affirme-t-elle à des décennies d’écart, elle adorait le livre de Lewis Carroll ! Marianne, elle, conserve un souvenir plus ludique du livre Je pense que les gravures de John Tenniel qui illustraient mon édition y sont pour beaucoup », admet-elle. Petite fille, elle est emportée par le côté baroque du récit, sa luxuriance, son rythme trépidant. Plus étonnamment, elle reste très marquée par le poème liminaire au texte, dans lequel Carroll raconte comment l’histoire d’Alice est née au cours d’une promenade en barque en compagnie de l’inspiratrice du conte et ses deux sœurs Le récit de cette balade sur l’eau me faisait rêver. Vous vous rendez compte ? Un adulte qui invente une histoire rien que pour vous et dont, en plus, vous êtes l’héroïne ? Qu’est-ce que j’ai pu la jalouser, Alice ! » Le regard du psychanalyste Bernard Chouvier Ce double témoignage est intéressant car il montre l’importance du contexte dans lequel un conte est dévoilé. Elle ne le précise pas mais j’imagine que Karine a peut-être lu Alice au pays des merveilles toute seule. Or, le conte a toujours une grande puissance symbolique. Karine le souligne très bien l’angoisse de mort, la peur de l’anéantissement, la castration personnifiée par la Reine de Cœur… Le récit mobilise nos craintes les plus archaïques. Pour découvrir ce genre d’histoires, l’environnement doit être suffisamment sécurisant. La présence d’un adulte est primordiale puisque c’est un protecteur intégré dans la vie psychique de l’enfant. Un lien très fort s’établit alors entre celui qui raconte l’histoire et celui qui l’écoute. Marianne met d’ailleurs ce point en lumière une grande personne disponible pour le temps du conte ET qui invente une histoire rien que pour une petite fille, quelle chance ! » A lire également Sagesse quand les contes répondent à nos questions A quoi sert vraiment la psychanalyse ? Le coloriage, un retour en enfance anti-stress
Le pitch La Reine dit Qu'on lui tranche la tête! La phrase qu'elle prononçait toujours, quand elle était en colère. . Et c'est pourquoi Alice répondit Qui se soucie de votre avis, à vous autres ? Vous n'êtes qu'un jeu de cartes! Et c'est pourquoi ils se mirent tous très en colère, et prirent leur vol dans les airs, pour retomber tous sur Alice, comme une avalanche. Et je pense que vous ne devinerez jamais ce qu'il arriva ensuite. Ce qu'il arriva ensuite, ce fut qu'Alice s'éveilla de son étrange songe. Et elle découvrit que les cartes n'étaient que quelques feuilles tombées de l'arbre, que le vent lui avait plaquées contre le visage. Ne serait-ce pas délicieux que de faire, tout comme Alice, un curieux rêve ? * Mon avis L'édition que je vous propose aujourd'hui d'Alice au pays des merveilles, une édition Garnier Flammarion intitulée Tout Alice, est incontournable pour tous les amateurs de Lewis Carroll. L'ouvrage contient en effet, non seulement les différentes versions d'Alice y compris les courts récits intitulés Alice racontée aux petits enfants, mais aussi la "suite" du roman, intitulée De l'autre côté du miroir, ainsi que le long poème en huit "crises" ! intitulé La chasse au snark. Sans oublier un "appareil critique" conséquent, comme on disait dans les milieux universitaires avant que ne soit inventés le livre numérique, les émissions de télé-réalité, ainsi que la voiture électrique... Alice au pays des merveilles est une des merveilles absolues de la littérature du XIX° siècle. Un chef d'oeuvre qui va bien au delà du livre pour enfant et du conte prémâché pour les animations Disney vis à vis desquelles je n'ai aucun a priori, au contraire, l'adaptation d'Alice est étonnamment fidèle et risquée pour un dessin animé familial !. N’hésitez pas un seul instant, amis lecteurs qui avez atteint l'âge adulte depuis peu... ou fort longtemps, et plongez dans la lecture de ce récit absolument passionnant, d'une modernité absolue, qui vous offrira plusieurs heures d'émotion, de surprises, d'éclats de rire, tant l'ensemble de l'histoire est écrite avec une vivacité étonnante, bourrée d'esprit, inattendue... Roi du jeu de mots, du coq-à-l'âne, inventeur avec un demi-siècle d'avance du surréalisme, Lewis Carroll déroule des dialogues qui fusent dans tous les sens, un feu d'artifice poétique, un régal pour l'esprit ! Pas besoin de se lancer dans une exégèse psychanalytique de l'oeuvre, comme certains ont eu tendance à le faire lisez, simplement, et vous verrez que votre cerveau vous livrera, en toute liberté, sa propre interprétation ! * Illustration d'époque de John Tenniel * Indispensable dans toute bibliothèque, accessible à tout âge avec une lecture différente à chaque fois, Alice est à lire, absolument. Carroll était, non pas en avance sur son temps il était carrément hors du temps ! Pour terminer, voici -gratuitement, offerte par le Tourne Page, une charade dans le ton Mon premier est une salade Mon second est une salade Mon troisième est une salade Mon quatrième est une salade Mon cinquième est une salade Mon sixième est une salade Mon septième est une salade Mon huitième est une salade et Mon tout est un grand auteur anglais Réponse Lewis Scarroll ! Les huit scaroles Essayez-la autour de vous vous verrez, vous aurez un succès fou ! Acheter sur Amazon
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